Les crimes de nos pères

On ne peut pas dire que ce dernier volet de la célèbre saga suédoise centré sur le personnage de Rebecka Martinsson, procureure à Kiruna en Suède, offre des adieux palpitants. Au contraire, ce récit parfaitement dispensable, souffre de longueurs et d’une intrigue peu passionnante qui s’étire dans de trop nombreuses analepses. De surcroît, la protagoniste, malheureuse autant dans sa vie professionnelle que sentimentale n’attire pas spécialement la sympathie du lecteur et se présente davantage comme un personnage agaçant que complexe. C’est long, c’est mou, c’est ennuyeux. Bref, je ne vais pas m’étendre outre mesure sur ce roman qui n’ a rien d’une grande enquête policière.

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